- « A un moment je m’étais replié sur moi-même… ça m’ouvre à l’extérieur, ça m’aide à avoir de l’assurance, le fait d’être écouté, de pouvoir parler de tout »
- « C’est bien d’avoir un œil extérieur impartial qui ne va pas nous juger, mais nous aider… »
- « Les travailleurs sociaux n’ont pas donné de solution, mais ils m’ont donné leur avis personnel qui m’a aidé à prendre ma décision »
- « Le premier rendez-vous, c’était dur parce que j’avais peur que vous placiez mon enfant »
- « Je ne veux pas que vous fassiez du fric sur mon dos… si vous voulez faire quelque chose, sauvez mes enfants »
- « Tu vois, mon fils, quand la mesure s’arrêtera dans six mois, je remplacerai Madame… (le travailleur social) : au lieu de lui parler à elle, tu me parleras à moi »
- « L’audience, c’est pas la peine, j’irai pas, je suis pas un criminel »
- « Ce qui est bien ici, c’est que ce n’est pas les enfants qui ont des difficultés. Il y a les parents aussi. Ce n’est pas les enfants qui ont des problèmes, c’est les parents et ça touche les enfants… »
- « Je ne veux pas être considèrée comme une mauvaise mère »
- « C’est le placement qui a été douloureux aussi bien pour nous que pour lui, enfin, pour nous… mais surtout pour lui parce que ça l’a marqué beaucoup je crois »
- « Mon fils a besoin d’une tierce personne pour lui permettre de s’exprimer »
- « L’aboutissement de la mesure… C’est qu’à la fin on soit autonome et que la levée soit faite et qu’on puisse assumer nos propres enfants seuls »
- « Et vous, vous avez des problèmes avec vos enfants ? »
- « Vous n’êtes pas là pour me surveiller mais pour me soutenir dans mon rôle de mère »
- « J’en ai marre du juge, du tribunal, de la mesure, je veux qu’on arrête tout… mais lorsque cela s’arrêtera, est-ce que je pourrai continuer à vous voir ? »
- « J’ai apprécié le travail avec vous. Ma fille voudrait vous donner de ses nouvelles »
(paroles prononcées après la main-levée de la mesure)