Zohra HARRACH N’DIAYE, directrice du PAJE et de Prévention et de Lutte Contre la Radicalisation, a présenté les travaux de l’atelier 1 : Le rôle du passé dans le processus de radicalisation.

Consacré à l’étude des ressorts de la radicalisation, différents professionnels (personnels des préfectures franciliennes, policiers des renseignements et psychologues partenaires) et 111 personnes étaient présents lors de ce colloque.
Affirmer que le passé joue un rôle systématique dans la radicalisation peut être contre-productif : la diversité, tant au niveau de la personnalité que du parcours et de l’environnement familial, social et professionnel des individus en voie de radicalisation, impose de prendre du recul sur toute forme de généralisation, y compris concernant le rôle du passé au sens de l’enfance...
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